Petr Čech est une icône du football mondial et l’un des sportifs tchèques ayant eu le plus de succès dans l’histoire. Sa carrière est une inspiration non seulement pour les fans de football, mais aussi pour tous ceux qui veulent réaliser leurs rêves. De plus, son nom est devenu synonyme de fiabilité et de fair-play.
Des débuts sur un terrain à Plzeň
Petr Čech est né en 1982 à Plzeň en Bohême de l’Ouest et s’est consacré au sport dès sa plus tendre enfance. Il a débuté sa carrière de footballeur dans le club local du FC Viktoria Plzeň. Petr Čech est devenu très vite un des gardiens de but les plus prometteurs de Tchéquie. Et si vous voulez voir où ce phénoménal gardien a commencé, vous pouvez aller faire une visite du stade de Plzeň. Vous y serez accueillis avec grand plaisir durant les week-ends et vous pourrez jeter un œil dans ses « coulisses ».Londres : son deuxième foyer
Durant sa carrière, Petr Čech a surtout brillé dans les équipes de Chelsea et d’Arsenal. À Stamford Bridge, stade où joue l’équipe de Chelsea, Čech est toujours une légende. C’est dans ce stade qu’il aida son équipe à remporter la Ligue des champions en 2012, ce qui est aujourd’hui l’un des sommets de sa carrière. Il est également détenteur du record de la Premier League anglaise du nombre de matchs sans buts encaissés. En 2006, il a subi une fracture du crâne durant une rencontre et, par la suite, a porté durant les matchs un casque spécialement créé pour lui, devenu un de ses symboles.
Des succès dans les buts de l’équipe nationale
Petr Čech a également été au cours de sa carrière active le dernier rempart de l’équipe nationale tchèque. C’est avec celle-ci qu’il a pris part à plusieurs championnats d’Europe et coupes du monde. Ses performances dans les buts et son charisme en ont fait une des plus grandes icônes du sport tchèque et sa modestie et son grand fair-play inspirent encore, entre autres, les jeunes.Il est en outre un batteur passionné. Il joue parfois dans des groupes tchèques célèbres ou se produit durant des festivals de musique.
